Fessées et masturbation (en francés)
f/f
Autor(a) desconocido(a)
J'aime être dominée, j'ai d'ailleurs connu très tôt les plaisirs troubles de la punition. Mes parents sont très bons, mais mes incartades sont toujours punies de fessées. Il faut dire que, dans son genre, maman est une spécialiste et je me souviens avoir lu en cachette un livre se trouvant dans sa chambre intitulé " La fessée ", de l'auteur L. Frapié. Comme toutes adolescentes de mon âge, j'avais des défauts mais, hélas j'étais et je suis encore très franche et le mensonge me fait horreur. Aussi la moindre bêtise était avouée à ma maman qui me disait " Bien, Christiane, crois-tu que tu as mérité la fessée ? ". Invariablement, la réponse était " oui maman, je reconnais que je mérite une fessée. Je te demande pardon ". Du doigt, elle me montrait sa chambre où je la précédais rougissante et tête baissée, maman plaçait une chaise devant sa coiffeuse et, debout devant elle, je relevais ma robe et déboutonnais ma culotte de coton à fines côtes. Puis je levais ma robe et allongeais mon buste sur ses genoux Elle me tenait en travers de ses cuisses et me fessait de la bonne manière, a moins que, la faute étant plus grave, je ne doive aller me courber sous son bras gauche, bien cambrer les fesses, et être fouettée avec le martinet. Depuis mes 16 ans, il ne servait plus, et il avait disparu du porte parapluie de l'entrée. J'avais été autorisée à le ranger dans mon armoire. Je le sortais parfois. Il me fascinait toujours avec ses douze lanières de cuir, terrible et attirant en même temps. Une étrange nostalgie me prenait. Ce qui m'a toujours frappée chez ma mère, c'est le cérémonial de la correction. Il y avait plusieurs sortes de fessées. La fessée ordinaire maman empoignant le bout du pan ou l'élastique de ma culotte, tirant en hauteur pour plaquer l'étoffe sur les fesses avant de me corriger. La bonne fessée : elle m'ordonnait de relever vivement robe et combinaison très haut dans le dos, de baisser ma culotte ou de l'enlever complètement suivant l'humeur du moment. La fessée en public devant les filles de mon âge ou devant les amies de ma mère, je devais toujours me déculotter moi même, demander pardon de ma faute et m'offrir fesses nues sans faire d'histoire. En présence de garçons, je n'avais pas le derrière nu, exception faite pour papa. Je devais seulement tirer sur ma culotte, repousser les côtés dans la raie afin de présenter quand même toute la surface des chairs fessières à la correction. Les préparatifs terminés, je recevais une bonne fessée, et sans se laisser intimider par mes pleurs ou mes gigotements de jambes, elle me faisait rougir le postérieur, m'obligeant à compter les coups à haute voix. A l'annonce d'une fessée, je tremblais de peur au point qu'il m'arrivait souvent de mouiller ma culotte, ce qui avait pour effet de fâcher très fort maman qui, après m'avoir frotté la figure avec, m'attachait ma culotte dans le dos avant de me corriger. J'arrivais vers mes 16 ans, quand les corrections les plus humiliantes, c'est à dire les fréquentes fessées publiques cul nu ou presque nu devant les garçons, me donnèrent l'envie irrésistible de me masturber. Je connus mes premiers orgasmes. Cependant, ma conscience n'était pas tranquille et, pour me punir de ce péché, je devenais arrogante, insolente à la maison pour me faire fesser, je croyais ainsi avoir effacé ma faute. C'est à peu près à la même époque que maman arrêta de le donner la fessée, estimant sans doute que j'étais trop grande pour cette punition enfantine. L'époque des petits bateaux et de la fessée étant révolue, j'étais une grande fille et, du jour au lendemain, commençais à me maquiller légèrement, à mettre plus souvent des bas, à sortir et surtout à rentrer plus tard sans que mes parents se fâchent. J'avais suffisamment d'argent de poche pour ne pas dépendre des garçons. Bien des filles de mon âge auraient été satisfaites, moi pas. Je me masturbais de temps en temps, mais sans plus, par habitude. Puis vint la mode de la minijupe que jadoptais de suite, de toutes petites jupettes m'arrivant au ras des fesses, évidemment avec un panty, sauf à la maison où jaime mieux avoir les jambes nues, à moins, surtout par beau temps, que je ne mette un short. Petit à petit, à me voir vêtue si court, mes parents se crurent revenus en arrière et une insolence fut le prétexte. Maman m'informa que papa me donnerait la fessée. J'étais étonnée, lui qui, pendant mon enfance, l'avait fait rarement, il réservait cette sanction uniquement pour les mauvais bulletins. A la rentrée de papa, il me dit qu'il allait me corriger, et comme je lui faisais observer que j'avais dépassé mes 21 ans, que j'étais majeure, il me répondit : Raison de plus, tu n'as qu'à te conduire comme une adulte et non comme une gamine ", et, comme au bon vieux temps, je dus enlever ma culotte, me retrousser et marcher piteusement vers papa, tête baissée, sentant mes grosses fesses nues se balancer, et je me retrouvais à plat- ventre, gigotant sous la sévère fessée claquante, qui porta mes chairs étalées au rouge le plus vif.. Une fois dans ma chambre, je me masturbais et ma jouissance fut formidable. Depuis, je suis de temps en temps fessée, pas assez à mon gré, peut- être deux fois par semaine. Ma dernière correction paternelle remonte à deux jours. Papa claque fort, mais je tremble de plaisir avant, pendant et après la fessée. Il m'arrive moi-même, dans le secret de ma chambre, de me fouetter avec ma ceinture à lanières de cuir et aussi, pour faire moins de bruit, avec des orties prises dans le jardin. Mes parents me font beaucoup de cadeaux, me laissent ma paye, mais pour eux, la fessée s'inscrit dans le cadre de l'éducation et, surtout malgré mes vingt-quatre ans, je suis toujours pour eux leur petite fille. Il m'arrive encore, heureusement, de recevoir de temps en autres une vraie fessée en règle au martinet, en grand cérémonial humiliant. Je dois dire que j'aime mieux une punition de ce genre que des reproches continuels. J'ajoute que je suis toujours vierge, bien que fiancée, nous allons nous marier au mois de mars l'année prochaine. Comment faire comprendre à mon futur mari, sans le choquer, que je me masturbe régulièrement et mon besoin de domination ? Pouvez-vous m'expliquer ce plaisir de me faire fesser à mon âge comme une fillette de dix ans ? De demander pardon à genoux, à 24 ans, déjà jupe relevée et culotte baissée, avant d'aller humblement présenter mes fesses nues au martinet de mon père ? Suis-je une exception, une anormale, une vicieuse ou au contraire cela est-il arrivé à d'autres filles ?"
Autor(a) desconocido(a)
J'aime être dominée, j'ai d'ailleurs connu très tôt les plaisirs troubles de la punition. Mes parents sont très bons, mais mes incartades sont toujours punies de fessées. Il faut dire que, dans son genre, maman est une spécialiste et je me souviens avoir lu en cachette un livre se trouvant dans sa chambre intitulé " La fessée ", de l'auteur L. Frapié. Comme toutes adolescentes de mon âge, j'avais des défauts mais, hélas j'étais et je suis encore très franche et le mensonge me fait horreur. Aussi la moindre bêtise était avouée à ma maman qui me disait " Bien, Christiane, crois-tu que tu as mérité la fessée ? ". Invariablement, la réponse était " oui maman, je reconnais que je mérite une fessée. Je te demande pardon ". Du doigt, elle me montrait sa chambre où je la précédais rougissante et tête baissée, maman plaçait une chaise devant sa coiffeuse et, debout devant elle, je relevais ma robe et déboutonnais ma culotte de coton à fines côtes. Puis je levais ma robe et allongeais mon buste sur ses genoux Elle me tenait en travers de ses cuisses et me fessait de la bonne manière, a moins que, la faute étant plus grave, je ne doive aller me courber sous son bras gauche, bien cambrer les fesses, et être fouettée avec le martinet. Depuis mes 16 ans, il ne servait plus, et il avait disparu du porte parapluie de l'entrée. J'avais été autorisée à le ranger dans mon armoire. Je le sortais parfois. Il me fascinait toujours avec ses douze lanières de cuir, terrible et attirant en même temps. Une étrange nostalgie me prenait. Ce qui m'a toujours frappée chez ma mère, c'est le cérémonial de la correction. Il y avait plusieurs sortes de fessées. La fessée ordinaire maman empoignant le bout du pan ou l'élastique de ma culotte, tirant en hauteur pour plaquer l'étoffe sur les fesses avant de me corriger. La bonne fessée : elle m'ordonnait de relever vivement robe et combinaison très haut dans le dos, de baisser ma culotte ou de l'enlever complètement suivant l'humeur du moment. La fessée en public devant les filles de mon âge ou devant les amies de ma mère, je devais toujours me déculotter moi même, demander pardon de ma faute et m'offrir fesses nues sans faire d'histoire. En présence de garçons, je n'avais pas le derrière nu, exception faite pour papa. Je devais seulement tirer sur ma culotte, repousser les côtés dans la raie afin de présenter quand même toute la surface des chairs fessières à la correction. Les préparatifs terminés, je recevais une bonne fessée, et sans se laisser intimider par mes pleurs ou mes gigotements de jambes, elle me faisait rougir le postérieur, m'obligeant à compter les coups à haute voix. A l'annonce d'une fessée, je tremblais de peur au point qu'il m'arrivait souvent de mouiller ma culotte, ce qui avait pour effet de fâcher très fort maman qui, après m'avoir frotté la figure avec, m'attachait ma culotte dans le dos avant de me corriger. J'arrivais vers mes 16 ans, quand les corrections les plus humiliantes, c'est à dire les fréquentes fessées publiques cul nu ou presque nu devant les garçons, me donnèrent l'envie irrésistible de me masturber. Je connus mes premiers orgasmes. Cependant, ma conscience n'était pas tranquille et, pour me punir de ce péché, je devenais arrogante, insolente à la maison pour me faire fesser, je croyais ainsi avoir effacé ma faute. C'est à peu près à la même époque que maman arrêta de le donner la fessée, estimant sans doute que j'étais trop grande pour cette punition enfantine. L'époque des petits bateaux et de la fessée étant révolue, j'étais une grande fille et, du jour au lendemain, commençais à me maquiller légèrement, à mettre plus souvent des bas, à sortir et surtout à rentrer plus tard sans que mes parents se fâchent. J'avais suffisamment d'argent de poche pour ne pas dépendre des garçons. Bien des filles de mon âge auraient été satisfaites, moi pas. Je me masturbais de temps en temps, mais sans plus, par habitude. Puis vint la mode de la minijupe que jadoptais de suite, de toutes petites jupettes m'arrivant au ras des fesses, évidemment avec un panty, sauf à la maison où jaime mieux avoir les jambes nues, à moins, surtout par beau temps, que je ne mette un short. Petit à petit, à me voir vêtue si court, mes parents se crurent revenus en arrière et une insolence fut le prétexte. Maman m'informa que papa me donnerait la fessée. J'étais étonnée, lui qui, pendant mon enfance, l'avait fait rarement, il réservait cette sanction uniquement pour les mauvais bulletins. A la rentrée de papa, il me dit qu'il allait me corriger, et comme je lui faisais observer que j'avais dépassé mes 21 ans, que j'étais majeure, il me répondit : Raison de plus, tu n'as qu'à te conduire comme une adulte et non comme une gamine ", et, comme au bon vieux temps, je dus enlever ma culotte, me retrousser et marcher piteusement vers papa, tête baissée, sentant mes grosses fesses nues se balancer, et je me retrouvais à plat- ventre, gigotant sous la sévère fessée claquante, qui porta mes chairs étalées au rouge le plus vif.. Une fois dans ma chambre, je me masturbais et ma jouissance fut formidable. Depuis, je suis de temps en temps fessée, pas assez à mon gré, peut- être deux fois par semaine. Ma dernière correction paternelle remonte à deux jours. Papa claque fort, mais je tremble de plaisir avant, pendant et après la fessée. Il m'arrive moi-même, dans le secret de ma chambre, de me fouetter avec ma ceinture à lanières de cuir et aussi, pour faire moins de bruit, avec des orties prises dans le jardin. Mes parents me font beaucoup de cadeaux, me laissent ma paye, mais pour eux, la fessée s'inscrit dans le cadre de l'éducation et, surtout malgré mes vingt-quatre ans, je suis toujours pour eux leur petite fille. Il m'arrive encore, heureusement, de recevoir de temps en autres une vraie fessée en règle au martinet, en grand cérémonial humiliant. Je dois dire que j'aime mieux une punition de ce genre que des reproches continuels. J'ajoute que je suis toujours vierge, bien que fiancée, nous allons nous marier au mois de mars l'année prochaine. Comment faire comprendre à mon futur mari, sans le choquer, que je me masturbe régulièrement et mon besoin de domination ? Pouvez-vous m'expliquer ce plaisir de me faire fesser à mon âge comme une fillette de dix ans ? De demander pardon à genoux, à 24 ans, déjà jupe relevée et culotte baissée, avant d'aller humblement présenter mes fesses nues au martinet de mon père ? Suis-je une exception, une anormale, une vicieuse ou au contraire cela est-il arrivé à d'autres filles ?"
6 comentarios
Bernard -
Ben -
Je pense tout simplement que vous devriez parler en toute franchise des fessées que vous avez reçues, de votre désir de soumission et de punition, de vos masturbations à votre futur mari.
Pour moi, dans un couple, la relation doit s'établir sur la confiance, la complicité, le dialogue, la franchise.
A mon avis, vous n'êtes pas anormale. Jusqu'à aujourd'hui, vos seuls repères vous ont été donnés par vos parents, et votre éducation reçue vous fait rechercher ou reporter sur votre futur mari une présence paternelle très forte.
Une question me vient à l'esprit en vous destinant ces quelques lignes. Etiez-vous fille unique ? Aviez-vous des frères et soeurs ? Connaissaient-ils les mêmes punitions que les vôtres ?
Au plaisir de vous lire, et, je vous souhaite beaucoup de bonheur auprès de votre cher et tendre,
Ben
Jordan Jumpman -
André Martinet -
David -
;)
javi -